Lorsque le Stade Rochelais disputait ses premières rencontres de championnat de l’Atlantique, George Henry Jackson a choisi le jaune et le noir comme couleurs représentatives du club. L’histoire du logo du Stade Rochelais est née. Ainsi cinquante ans plus tard, on les retrouve forcément dans le travail de Georges Gaïlleul, chargé de doter le Stade Rochelais d’un logo, sur fond noir. Il dessine alors, une caravelle jaune, emblème de la ville de La Rochelle.
Histoire du logo Stade Rochelais
Il s’agit d’un Club omnisports fondé à la fin du 19ème siècle. Le Stade Rochelais voit sa section rugby se développer au début des années 1900s, sous l’impulsion du consul des États-Unis à la Rochelle, George Henry Jackson, et des nombreux courtiers anglais qui habitaient la ville. Ils rassemblaient les quelques Rochelais passionnés de ballon ovale pour organiser des parties sur le terrain du Champ-de-Mars. Le bar des Glacis tout proche faisait office de quartier général, et la tenancière tricotait des ceintures de flanelle jaunes et noires pour distinguer les joueurs et les équipes.
Ainsi, lorsque le Stade Rochelais dispute ses premières rencontres de championnat de l’Atlantique, George Henry Jackson a choisi le jaune et le noir comme couleurs représentatives du club. Cinquante ans plus tard, on les retrouve forcément dans le travail de Georges Gaïlleul, chargé de doter le Stade Rochelais d’un écusson. Sur fond noir, il dessine une caravelle jaune, emblème de la ville de La Rochelle. Il ornera les maillots en 1968 à l’occasion de la 16ème de finale du Championnat de France disputée à Montauban contre le RC Toulon. Le logo du Stade Rochelais est né.
Description du logo Stade Rochelais
Du début des années 2000 jusqu’en 2016, la mention “Atlantique” est présente sur le logo, cela rappel de la situation géographique de la ville. Ce qui a fait naître le surnom “Maritimes”, pour l’équipe. Dans le cadre du projet “Écrire notre histoire 2020”, lancé en 2016, le club revient au nom de Stade Rochelais, dans un souci de clarification de l’image de marque. Mais le surnom des “Maritimes” demeure, et continue aujourd’hui encore de faire chanter Marcel-Deflandre.