2016
11/Juil

Six raisons de privilégier la quantité plutôt que la qualité !

Je vous propose aujourd’hui un article un peu polémique, et ce n’est pas une simple accroche comme dans l’article « 5 conseils pour faire fuir vos clients« . Je pense vraiment qu’il faut savoir parfois privilégier la quantité à la qualité concernant vos contenus marketing en digital. Et ce pour les six raisons suivantes.

Découvrez notre offre d'accompagnement Non classifié(e)

Marketing entrant Lorem Ipsum

Lorem Ipsum est simplement un texte factice de l’industrie de l’impression et de la composition. Lorem Ipsum est le texte factice standard de l’industrie depuis les années 1500, quand un imprimeur inconnu a pris une galère de caractères et l’a brouillée pour en faire un livre de spécimens. Il a survécu non seulement cinq siècles, mais aussi le saut dans la composition électronique, demeurant essentiellement inchangé. Il a été popularisé dans les années 1960 avec la sortie de feuilles Letraset contenant des passages du Lorem Ipsum, et plus récemment avec un logiciel de publication assistée par ordinateur comme Aldus PageMaker comprenant des versions de Lorem Ipsum.

1. Il faut beaucoup de contenu pour alimenter les médias digitaux

Les médias digitaux sont très consommateurs de contenu, et à ce titre nous recommandons :

  • Un article de blog par jour,  voire plus, mais jamais moins d’un par semaine,
  • Idem pour Facebook et Linkedin,
  • Plusieurs partages par jour pour Twitter et Instagram
  • Une newsletter par semaine et jamais moins d’une par mois

2. Il serait trop coûteux d’acheter les contenus online au tarif du offline

Pour avoir le même niveau de qualité sur le digital qu’en communication offline, il faudrait payer des sommes astronomiques pour animer un blog ou un compte Facebook. Avec peu de chances de générer un retour sur investissement adéquat. Je sais que certains de nos confrères pratiquent les mêmes tarifs pour un article de blog que pour une tribune dans la presse (autour de 2500 € l’article) mais cela me semble déraisonnable. Nous sommes presque 10 fois moins chers. Nous cherchons à maximiser le retour sur investissement tout en conservant un bon niveau de qualité.

3. Les processus de validation du offline ne sont pas adaptés au digital

Très souvent, les campagnes presse, les interviews, les plaquettes sont validées par une demi-douzaine, voire plus, de décideurs. Ce processus de validation est très chronophage. Il ne laisse rien passer mais il est inadapté à la quantité produite en digital. Imaginez d’avoir à faire valider votre article de blog quotidien par votre N+1, N+2, et N+3 ???

4. Le digital permet de corriger après publication

Cela semble être une évidence, mais, contrairement au print, on peut toujours corriger, voire amender, une publication sur Internet. Ainsi une petite coquille relevée peut aussitôt être corrigée sans mettre au pilon plusieurs milliers de plaquettes imprimées. Cela ne veut pas dire qu’il faut se faire corriger par ses lecteurs, comme je l’avais fait au démarrage d’1min30 mais que de temps en temps, il faut accepter que tout ne soit pas parfait.

5. Le digital doit être responsive

Vous le savez, vos contenus doivent s’adapter aujourd’hui à différentes tailles d’écran, au format paysage pour les ordinateurs de bureau, portrait pour les smartphones, etc. Donc, la mise en page sera dynamique et le texte s’agencera en fonction de la taille de l’écran. Les retours à la ligne, en particulier, ne respecteront pas les règles de composition typographique. Autant en print, on ne passera jamais à la ligne après le « du » de « la maison du bonheur », autant sur le web ce ne sera pas une erreur du graphiste.

6. Le mieux est l’ennemi du bien

Les Américains disent « Better done than perfect ». Ils ont raison ! A trop vouloir privilégier la qualité en digital, on risque vraiment de ne pas faire. D’attendre d’avoir quelque chose de vraiment intéressant à dire avant de bloguer. De faire relire à la terre entière avant de publier. De peaufiner indéfiniment plutôt que de passer au contenu suivant. Cela n’est pas efficace ! Le digital est avant tout un média, et un média c’est avant tout des rendez-vous. Le journal de 20h c’est tous les jours à 20h et il faut tenir ce rendez-vous ! Que l’actualité soit riche ou pauvre ! Il faut produire et essayer d’avoir une bonne qualité globale tous les jours, plutôt que d’être excellent de façon irrégulière.

Et quid de la qualité dans tout ça ?

Vous l’avez compris, je ne dis pas qu’il ne faut pas faire de la qualité. Bien sûr, c’est la qualité du contenu qui va permettre de constituer votre audience, tout comme c’est la qualité de nos livrables et de nos processus de travail qui va nous permettre de vous satisfaire dans le temps et de vous fidéliser. Nous cherchons à être une agence premium, premium dans la qualité de nos rendus, mais aussi de nos conseils. Et parmi nos conseils premium, propres au digital, nous vous conseillons de vous détendre sur la qualité pour privilégier la régularité, la constance.

La recherche de perfection reste indispensable sur tous les autres supports : vidéos de présentations, plaquettes, Prezi, etc. qui font aussi partie de nos prestations de brand marketing.

Pour en savoir plus, retrouvez notre livre blanc Inbound Marketing : faire de sa marque un média et transformer son audience en clients, et contactez notre agence Inbound Marketing.

Pour aller encore plus loin, voici la dernière vidéos de notre Vlog quotidien ENJOY THE DAY présentant la quantité avant la qualité. N’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne YouTube, et à partager nos vidéos!

Gabriel Dabi-Schwebel

Posté par

Ingénieur de formation, j'ai accompagné notamment pour Alcatel, TF1, SFR et Lagardère Active le lanc

Gabriel Dabi-Schwebel

Contact Brand Marketing :

Gabriel Dabi-Schwebel

gds@1min30.com
06 73 55 17 36





Commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Apprenez de notre stratégie en vous inscrivant à notre newsletter