2010
17/Mar

Le Storytelling ou comment faire « vivre » votre Marketing Direct !

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Des sucres « haute couture » de CANASUC


Il était une fois… CANASUC

Depuis 1992, CANASUC, réinvente le sucre, le métamorphosant par une douce alchimie des formes et des couleurs.

Cette société crée des sucres « haute couture » pour sublimer le plaisir de l’instant café.

Comment intéresser une cible « haut de gamme » sans lasser et en innovant en permanence ?

• Cibles
– Hôtellerie de luxe
– Restaurants haut de gamme
– Boutiques de décoration et d’Art de la Table
– Corners alimentaires de Grands Magasins (Le Bon Marché,…)
– Presse Déco

• Positionnement recommandé par SAPHIR :

CANASUC accompagne votre marque en lui offrant un supplément d’âme, où se mêlent harmonieusement l’émotion partagée, le sens de l’intrigue, de l’inattendu, du décalage et de la beauté, lié à un certain art de vivre fondé sur l’élégance et la discrétion.

• Preuves :

Lignes de produits : Accroche-cœur, Cabochon, Lune Ambrée…

• Recommandation créative et media :

Par exemple pour les sucres : Accroche-cœur …

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SAPHIR a proposé :

1. Slogan
CANASUC : un signe discret d’élégance

2. Création
Un traité illustratif créé par notre Directeur de Création : Philippe LO PRESTI soulignant la beauté du sucre « Accroche-cœur » dans une situation paradoxale : en pendentif.

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3. Media
Plusieurs mailings successifs de 4 pages, illustrant la saga CANASUC via le storytelling

• Tous les 2 mois : CANASUC envoie un mailing iconoclaste (une série de 6 envois dans l’année) comprenant un storytelling + une question inédite en conclusion + un coupon-réponse récompensant les bonnes réponses (appât).

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• Une série de Nouvelles fondées sur l’Intrigue, l’Inattendu, la Séduction (sous la forme d’un thriller) constitue la trame rédactionnelle de la saga.

SAPHIR a écrit 6 Nouvelles – 6 « thrillers » où les sucres CANASUC jouent un rôle inattendu et central.

4. Un exemple de storytelling
« L’Accroche-cœur » (Nouvelle originale écrite par Gabriel SZAPIRO)

« Lausanne. Dans le café jouxtant l’Hôtel du Lac,  les mobiles de Tinguely rythment les heures.

La Suisse se réveille. Quelques hommes d’affaires attablés, expriment, tels des figurants au comportement saccadé, des certitudes autant banales que complices.

Soudain, ce bel ordonnancement est interrompu par le cri d’Odile, la femme de ménage du 2ème étage : « Monsieur Gérard, venez vite… Monsieur Michel ne va pas bien du tout… vraiment pas bien… ».

– « Ah écoutez Odile, ça suffit… il est 9h… Laissez-moi m’occuper des mes clients du bar. Vos cauchemars ne m’intéressent pas !

– « Je vous assure Monsieur Gérard, je crois qu’il est mort ! »

En effet, Michel Goncourt, le directeur financier de l’hôtel semble assoupi sur un des fauteuils club, les bras ballants.  Une longue et… éternelle sieste.

Quelques minutes après, autour du cadavre, Cécile Passion, commissaire, son adjoint l’inspecteur Cyril Berthomieux, interrogent le directeur de l’hôtel : Jean-Marie Levoisier, ainsi que le responsable du bar : Gérard Dupuis et Odile : la femme de ménage.

– « Evidemment vous n’avez rien vu…, rien entendu… ? »

Tout en proférant ces paroles désabusées, l’inspecteur Cyril Berthomieux ramasse délicatement un verre encore rempli de sirop d’Orgeat, le Herald Tribune et un portefeuille d’où dépasse un billet de 100 dollars.

Sur la table basse, une tasse de café, et posé dessus, tel un écuyer sur son cheval, un objet intrigant en forme de cœur.

– « Envoyez-moi tout ça au labo ! : le verre, la tasse, cet objet venu d’ailleurs… je veux tout savoir.. empreintes digitales, ADN, tout. »

Odile pleurant avec force gesticulation pour exprimer une peine apparente se tourne vers Cécile Passion :

– « Je connaissais bien M. Michel. Il voyait souvent Mme Sarah, une latino-américaine qui loue une suite à l’année à l’hôtel… il ya du FBI là-dessous… d’ailleurs je ne sais pas si elle s’appelle SARAH ! »

– « Vous êtes folle, Odile, remontez dans les étages ».

Jean-Marie Levoisier hurle, puis aimablement :
– « Vous voyez, Madame la commissaire, cet OFNI (Objet Fondant Non Identifié) agrippé à la tasse de café… et bien c’est un morceau de sucre. Pas n’importe lequel c’est un « Accroche-cœur »… Depuis quelque temps, Michel en offrait à certains de ses invités…. Pas à tous. Vous ne trouvez pas curieux ce manège ?

Soudain, en haut du grand escalier central, apparaît un cubain, svelte et élancé.

A la vue de Michel Goncourt, inerte dans le fauteuil, il s’éloigne rapidement… paraissant irrésolu, paniqué.

Jean-Marie Levoisier :

– « Ah voila un soi-disant ami de Michel Goncourt… tous des cubains, il y en a plus de 20 à l’hôtel, très corrects, parlant l’anglais, mais restant généralement entre eux. Je crois que certains veulent se rendre aux USA. »

Cécile Passion s’interpose pour empêcher le cubain de sortir :

– « Do you know Michel Goncourt ? »

– « Yes,I know him… What’s happened ? …. Is he… dead ? why ? » dit le cubain complètement interloqué.

– « Do you have your passport ? » réclame la commissaire.

Le cubain plonge sa main dans sa poche et tend son passeport à la commissaire. En même temps, de sa poche, glisse un morceau de sucre fendu identique à celui trouvé sur la tasse de Michel Goncourt.

Perplexité, étonnement et surprise de tous les protagonistes !

– « What’s that ? » s’écrit Cécile Passion. « What’s this amazing stuff ? »

– « I don’t know… it’s sugar, Michel asked me, not to eat it ! … especially during all the time I will spend in Switzerland… So I keep it.  Yesterday, Michel told me to stick this sugar tonight on the door of my room. Unusual, strange, isn’t it ? »

La commissaire remercie le cubain et s’excuse de l’avoir importuné…

– « Tout est clair maintenant… » Dit-elle souriante et sûre d’elle-même.

Quelques instants plus tard, Cécile Passion monta dans la suite « Tinguely » de l’hôtel et arrêta la soi-disante Sarah pour le meurtre de Michel Goncourt.

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Question inédite : Un « coupon-réponse » incitatif à jouer, inclus dans le mailing :

Cher lecteur-détective, pourquoi Sarah fut-elle arrêtée par la commissaire et quel rôle ont joué les « Accroche-cœur » de CANASUC dans cette histoire ?

Réponse aux non-gagnants :

Un responsable du FBI, un des organismes relevant des services secrets des USA voulait reconnaître discrètement les chambres des cubains qu’il devait emmener aux USA. Aussi avait-il été demandé à ceux-ci, candidats au départ, de coller sur chacune de leur porte, un morceau de sucre  «Accroche-cœur » de CANASUC pour se faire connaître des accompagnateurs.

Sarah – inscrite à l’hôtel sous un faux nom – en fait, un inspecteur de La Havane avait tué Michel Goncourt pour empêcher ce voyage.

• Conclusion : Il était une fois… le succès
Le storytelling qui met intelligemment et avec humour, votre produit en situation dans un récit, permet :

– de « décaler » le message en lui apportant un supplément d’émotion et d’intrigue, augmentant ainsi son intérêt.

– de « susciter » l’envie d’en savoir plus pour le lecteur concerné

– de créer une véritable Saga, source d’actions périodiques via le Marketing Direct ou le Net.

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Gabriel Szapiro

Posté par

Le digital révolutionne les modes de communication, l'information et, en conséquence, le marketing.

Gabriel Szapiro

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